Du 30 août 2023 au 01 septembre 2023
Colloque
Colloque international : «Les larmes »
Publié le 1 décembre 2022 – Mis à jour le 1 septembre 2023
Lieu(x)
Charroux
Responsables scientifiques : Françoise Le Borgne, Elena Anastasaki et Alain Montandon.
Programme :
Mercredi 30 août
- 9h Introduction
- 9h 30 Alain MONTANDON (Université Clermont Auvergne) : L’archipel des larmes
- 11h Christine KOSSAIFI ( Membre associée CELIS) : Les larmes d’Homère
- 14h Franc SHUEREWEGEN (Université d’Anvers) : Racine et les larmes
- 15h Sylvain LEDDA (Université de Nantes) : Larmes d’animal
- 16h Solange CARTON (Université de Montpellier 3) : Les larmes en séance (de psychanlyse)
Jeudi 31 août
- 9h Esther PINON (Université de Rennes) : Comme des Madeleines : la sacralisation des larmes dans la poésie romantique
- 10h Christiane CONNAN-PINTADO (Université de Bordeaux) : De Lewis Carroll à Claude Ponti, figuration des larmes enfantines dans la littérature pour la jeunesse
- 11h Anne COUDREUSE (Université Paris Nord) : Les larmes dans Pleurnichard de Jean-Claude Grumberg
- 14h Irène SALAS (EHESS) : Trois larmes. Jésus, le cerf, La comtesse
- 15h Anne VINCENT-BUFFAULT (Université Paris Diderot) : La larme ne dis pas je
- 18h Bertrand POROT (Université de Reims) : La musique des larmes à l’époque baroque
- 19h15 Concert et buffet
Vendredi 1er septembre
- 9h Anne ROUHETTE (Université Clermont Auvergne) : Larmes en spectacle : la femme en pleurs, phénomène social ? à partir de The Female Quixote de Charlotte Lennox (1752)
- 10h Françoise LAURENT (Université Clermont Auvergne) : Les larmes : expérience mystique de connaissance et d’amour dans ‘ La Doctrine des larmes ‘ du Dialogue de Catherine de Sienne
- 11h Isabelle SAFA (Lycée Gustave Eiffel) : Les larmes des héros dans le roman d’aventures : questions de genre
- 14h Françoise LE BORGNE (Université Clermont Auvergne) : Les larmes dans La Nouvelle Héloïse
- 15h Marine GANOSKY (University of St Andrews) : Les larmes de Casanova
- 16h Elena ANASTASAKI (Université de Thessalie, Grèce) : Matière à pleurer et catharsis au premier degré (à propos de Pauliska ou la perversité moderne de Révéroni Saint-Cyr)
- Conclusions